Six mois, six moi qu’Hide cherchait l’assassin d’Izian. Six maudits mois où à remuer ciel et terre pour rien. Il avait recommencer à tuer des humains, beaucoup d’humain… mais il n’en tirait aucun plaisir. Aucun de ses cadavres ne lui rendait Izian, aucun de ses être aussi faible que pitoyable ne savait quelle bad dolls avait assassiné son compagnon. Hide les haïssait, humain, dolls, ils étaient tous les architecte de son malheur… Le robot ne désirait qu’une chose, les détruire… Tous, et quand ils auraient tous disparu il restera seul sur Terre, seul avec son malheur. Seul avec le corps inerte d’Izian, cette dolls qui voulait protéger les humains, cet idiot qui l’avait abandonné… Bien sur qu’Hide avait tenter de le réinitialisé, mais Izian n’avait plus ouvert ses magnifique yeux noirs. Izian le laissait seul, encore plus seul qu’avant leur rencontre… Seul avec la compagnie de ce vide que le dolls avait créer en le remplissant… mais maintenant s’en était trop, le bad dolls ne voulait pas rester à ne rien faire, il voulait devenir fort, l’intelligence ne le satisfaisait plus… Il lui fallait les deux, la force et l’intellect. Là seulement il pourrait raser ce monde qu’il haïssait, le réduire à néant. Cependant la force ne voulait pas venir, quoiqu’il fasse, il avait beau s’entraîner rien ne venait. Bien sur étant un robot il était plus fort que ces poupées de chair que sont les humains, mais ce n’était pas suffisant. Il lui fallait un master, sans quoi jamais il ne pourrait atteindre son but. Il lui en fallait un maintenant !
C’est en ruminant ses sombre pensée qu’Hide arriva devant une boutique vendant des dolls. Il entra avec une violence extrême et posa sa main à plat sur le comptoir. Il attrapa le vendeur par le col et ordonna d’une voix ferme et glaciale.
« Je veux un master. Trouvez m’en un. »
Le vendeur, surement peu habitué à ce genre de situation n’opposa aucune résistance. Il semblait terrifier par ce doll peu commode, et déterminé. Peut être un good doll ayant perdu son maître et en cherchant un nouveau ?
« Et bien, je vais voire ce que je peux faire… euh, asseyez-vous là en attendant. »
Et c’est ainsi que l’ancien espiègle commença sa carrière de good doll, assis, le visage fermé sur un fauteuil.